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Loverdose - Edouard Bielle (Vinyle)
Loverdose - Edouard Bielle (Vinyle)
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L’amour, une drogue douce qui dure et qui inspire, comme en témoigne le tout premier EP d’Edouard Bielle : LOVERDOSE.
Après trois singles et deux clips desquels on devine un attrait pour le vintage remis au goût du jour, cette nouvelle étape vient asseoir un peu plus son univers, quelque part entre hier et aujourd’hui, sincérité et légèreté.
Au fil du disque dans lequel on retrouve un peu de Christophe ou de Polnareff mais surtout beaucoup d'Edouard Bielle, on se laisse emporter par ses sons de synthés brillants et sa voix haut perchée avec laquelle il se livre sans réserve sur les différentes facettes de sa vie, souvent rythmée par les histoires d’amour.
Un amour parfois difficile à effacer de sa mémoire dans « Je t’oublie déjà », une romance passionnée avec une terre mystique dans « Parikía », un trop plein de sentiment dans « Loverdose », ou encore un comportement aussi commun que vulgaire dont il se moque dans « Jaloux ».
Et même avec « Vitiliboy » lorsqu’il nous parle de son vitiligo et de l’appréhension de voir son corps changer, c’est pour lui une manière d’apprendre à s’aimer comme il est.
Après trois singles et deux clips desquels on devine un attrait pour le vintage remis au goût du jour, cette nouvelle étape vient asseoir un peu plus son univers, quelque part entre hier et aujourd’hui, sincérité et légèreté.
Au fil du disque dans lequel on retrouve un peu de Christophe ou de Polnareff mais surtout beaucoup d'Edouard Bielle, on se laisse emporter par ses sons de synthés brillants et sa voix haut perchée avec laquelle il se livre sans réserve sur les différentes facettes de sa vie, souvent rythmée par les histoires d’amour.
Un amour parfois difficile à effacer de sa mémoire dans « Je t’oublie déjà », une romance passionnée avec une terre mystique dans « Parikía », un trop plein de sentiment dans « Loverdose », ou encore un comportement aussi commun que vulgaire dont il se moque dans « Jaloux ».
Et même avec « Vitiliboy » lorsqu’il nous parle de son vitiligo et de l’appréhension de voir son corps changer, c’est pour lui une manière d’apprendre à s’aimer comme il est.
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